Le chemin vers la Bérézina...
Samedi 7 octobre 1812, l’armée française continue sa retraite. Sur le chemin, un fleuve, 1 pont et une division russe prête à stopper l’avance française.
L’artillerie russe se positionne sur le plateau quasiment en face du pont. Une brigade d’infanterie et de cavalerie arrive en soutien.
Les français mettent leurs canons rapidement en batterie face au pont. L’infanterie s’engouffre dans les faubourgs de la petite ville, une partie se protège derrière la forêt.
La garde à pieds déboule sur le plateau.
Sur l’aile gauche russe, une brigade va tenter le passage sur le rétrécissement du fleuve.
Cela change le plan des français, un double carré se positionne. La garde à pieds vient en renfort. La cavalerie change de manœuvre également.
Les boulets russes font des ravagent dans la ville. Les murs tombent. Les hommes aussi.
L’infanterie française est ébranlé. Elle opère un recul de repositionnement.
Sur la droite du théâtre des opérations, le génie russe construit un pont. Les français sont surpris. Une brigade à pied russe commence à avancer. La cavalerie française fait un autre changement. Elle vient épauler les infanteries françaises. Le tout se dirige vers le pont de fortune. Au même moment, Les français reprennent la progression dans la ville.
Les canons russes pilonnent sans cesse.
A gauche, 2 régiments russes partent au centre, vers le pont. 1 régiment russe franchit le fleuve. La garde française vient à la riposte. Les pertes sont effroyables des 2 côtés. Les troupes françaises sont en mouvement. Le régiment russe ne tient pas longtemps à ce rythme.
Au centre, les canons français s’orientent vers la gauche russe.
A droite, les russes ouvrent le feu. Les français ripostent. Les rangs sont décimés.
En fin de journée, le pont n’est pas franchie pour l’armée française. La division russe a arrêté l’ennemi.
Merci à Sidbul pour ce compte rendu