et voici le récit :
Les coalisés ont repris l’offensive. Ces derniers sont en marches, Russe en tête.
La division Russe avance sur la route bordée de plateau, à gauche, à droite.
1 division franco-polonaise attend de pied ferme l’ennemi. Les russes stoppent la marche et positionnent leur artillerie au centre sur un petit plateau donnant sur une large vallée. Le reste de l’infanterie se positionne à l’abord du plateau gauche.
Dans les 2 camps c’est l’attente. Les polonais sont en position d’attente. Leur artillerie est faible par rapport à la batterie Russe. Les français décident de pousser 1 brigade sur la gauche russe.
La cavalerie russe va déborder la gauche polonaise en carrée. Les trompettes des dragons Russe et des cosaques de la garde sonnent la charge. C’est le choc. Les premiers coups de feu. Les cheveux tombent. L’impact est imminent. Les lances transpercent les rangs. Le carré est balayé. Les fuyards sont épaulés par un carré tout proche mais impuissant à la déferlante de cheveux. Finalement, la cavalerie se repositionne plus loin.
L’aile gauche russe est bien fébrile. L'artillerie à cheval de La Garde Française lance une charge pour attirer le carré Russe. Soudain des trompettes sonnent au loin. Une division Bavaroise arrive en renfort. De quoi réconforter les lignes Russes. L'artillerie recule, mais au même moment, une division Ottoman et une division Française déboule en face de russes. Les soldats des 2 camps en sortent galvanisés.
Sur le flanc gauche coalisé, la brigade française maintenant soutenue par des régiments de cavaleries.
Elle est appuyée par la Garde Française. Les français accentuent leurs avances.
Les Ottomans comblent les rangs d’infanteries sur le centre et la gauche ennemi. La cavalerie part épauler l’extrême gauche Polonaise. D’autres clairons se font entendre, une division anglaise arrive à point nommée. Elle se situe à droite coalisé. La cavalerie se porte en avant pour soutenir les cavaliers russes, très loin devant.
Des lanciers polonais lancent leurs chevaux sur le plateau droit. Les batteries bavaroises sont prisent en pleine marche. C’est la fuite. A l’extrême droite, la cavalerie russe et anglaise se positionne. Les trompettes sonnent la charge. Un régiment sur deux part. Un ordre est mal passé !
Les Ottomans narguent l’adversaire. Ils font trembler la terre de leurs cheveux lancés à toutes furies. En embuscade, l’infanterie anglaise fait feu. Les chevaux tombent. Cela n’arrête pas la horde. Les balles pleuvent. Les cavaliers s’écroulent. Des escadrons atteignent le royal horse guard. Ces derniers font honneur à leur rang. Les assaillants subissent de lourdes pertes.
Pendant ce temps au centre, la ligne d’infanterie avance sur les coalisés. L’artillerie bavaroise se met en position. A l’extrême gauche, les brigades françaises menacent de déborder. Les russes se portent sur le plateau. L’infanterie bavaroise se porte sur l’arrière en double carré.
Une discorde dans les ordres lance la cavalerie Prussienne à l’assaut de la cavalerie Française. Cette dernière est épaulée par l’infanterie. Après coup, la brigade d’infanterie russe charge également. Le 1er bataillon est décimé par les feux roulants ennemis. La cavalerie prussienne n’a pas réussi à mettre en déroute toute la cavalerie française, celle-ci était soutenu par les Lanciers Polonais de la Garde.
Les grenadiers et chasseurs russes avancent de concert. Les lignes françaises et Ottomanes reculent. Le plateau semble acquit. L’infanterie française et ottomane qui n’ont pas battus en retraite se lancent à l’assaut du plateau. La cavalerie légère française appuyé par les Lanciers Rouges de la Garde coupent la retraite des régiments russes. C’est une boucherie de fantassins russes.
Pendant ce temps à droite du front, les cosaques de la garde russe n’hésitent plus une seconde. Le clairon sonne la charge. Les lances embrochent les escadrons de gardes ottomanes. C’est la déroute de ces derniers.
La journée se termine. Le front se renverse. L’aile gauche coalisée est inexistante. L’aile droite coalisée oblige l’adversaire à se repositionner sur le centre.