Artillerie à cheval

Je possède dans ma petite bibliothèque un petit livre sur la cavalerie de Napoléon. Et pour satisfaire JaggeR des pages sur l'artillerie à cheval, je ne vais pas réécrire les 8 pages concernant cette arme, mais voilà un cour extrait...
La création date, en France, pour ce qui est de l'artillerie à cheval de 1792, mais leur emploi en liaison avec la cavalerie ne date guêre que du 1er empire.

Ces batteries à cheval n'étaient pas affectées d'une manière régulière aux corps de cavalerie. Cependant, elles en reçoivent une faible proportion d'environ 2 à 3 pièces. Cela serait plutôt les brigades de Cuir et de dragons qui possèdent une compagnie d'artillerie....L'empereur prescrit le plus vite d'augmenter le nombre de canons soit en fabrication ou mieux sur les prises de guerre, je parle des canons, Napoléon, prescrivait une demi compagnie par régiment de cuirassiers et de dragons ce qui représentait 2 obusier de 15 livres et 4 canons de 6 pour environ 150 coups.

Il est évident que les canonniers destinaient au service des pièces étaient tous à cheval, ce qui donné une grande supériorité sur nos adversaires. Quand aux manœuvres elle se caractérise par sa rapidité et sa hardiesse. Les batteries à cheval ne craignaient pas de s'installer à des distances de l'ennemi moitié moins grandes que les autres pièces à pied.

C'est exactement ce à quoi, JaggeR , va s'employer a nous montrer en 2012... c'est a dire l'efficacité de l'artillerie à cheval......

A suivre

J'ai hâte de voir cela... l'artillerie russe va encore donner

Poursuivons.....
Cette artillerie à cheval permettez si elle était bien employée a faire des trouées dans les rangs ennemis. Ainsi, elle s'avançait au plus prés de l'adversaire et tirer rapidement et avec efficacité , ce qui facilita à la cavalerie de pouvoir pénétrer dans les rangs ennemi et ainsi de déborder et sabrer.
" A Tuela, c'est une batterie de 60 pièces qui ouvre dans le centre de l'armée espagnole une trouée, par laquelle pénétrèrent les escadrons de Colbert et de Lefebvre-Desnouettes, pour prendre ensuite les deux ailes à revers"

Cette artillerie n'est pas négligeable si elle est bien employée, et si les hommes qui la compose savent s'en servir...c'est du moins ce que JaggeR va nous démontrer en 2012

Oui, j'ai hâte de voir ce que cela donne.
Les soldats russes n'ont même pas peur

En effet !!

Depuis le temps que j'élabore des tactiques basées sur l'artillerie à cheval !!

GD Maréchal en a gouté une fois , mais c'était les anglais.

Maintenant qu'elle est de nouveau à 2 pièces par héxagones,

2012, sera l'année de l'artillerie à cheval !!

je rajouterai qu'effectivement le fait de mettre deux pièces sur une même hexagone accentue la destruction de l'ennemi et augmente la place de la cavalerie. C'est exactement le souci qu'avait ces deux corps (cavalerie et artillerie à cheval ) dans la réalité de l'époque...Le problème s'était LA PLACE pour tirer sans gêner et toucher la cavalerie amie.

Nous avons le problème de la portée du tir de l'infanterie qui menace l'artillerie à cheval,

mais le bonus de dé en grande batterie et les cartes bonus comblent ce problème

L'artillerie à cheval va pouvoir enfin s'exprimer !!

eh bien dans ce petit livret, il note que cela arrive souvent et cela serai du à l’enthousiasme des artilleurs qui se rapproche trop près des tirs de leur adversaire, ou que ses l'ennemi qui avance trop vite.
en conclusion il faut maitriser que cela soit sur la table de jeu ou dans la réalité de l'époque le même souci.

d'autres récits, sur les ravages ?

JaggeR a écrit:

En effet !!

Depuis le temps que j'élabore des tactiques basées sur l'artillerie à cheval !!

GD Maréchal en a gouté une fois , mais c'était les anglais.

Maintenant qu'elle est de nouveau à 2 pièces par héxagones,

2012, sera l'année de l'artillerie à cheval !!

Je me souviens aussi

Non aucun statistique sur les ravages causés par l'artillerie.Mais à Vauchamp (1814) il a manquer cruellment de cette arme pour justement faire un carnage sur les troupes prussiennes et russes.

Alors que cette troupes, enveloppé par la cavalerie française et tenue en respect par notre infanterie, fit un mouvement qui aurait pu lui être fatal, celui de se regrouper et donc de former une masse compacte. Malheureusement pas d 'artillerie à cheval cotés français ce qui aurait pu éventuellement , comme la souligné le général Fabvier dans son compte rendu, assuré une victoire compléte et peut-être décidé du sort de la guerre.